Même à moité mort, je joue encore

Profitant des vacances de noël, notre petit groupe de jeu s'est réuni pour croiser le fer dans la bonne humeur. Nous avons joué dans l'ordre à : Seasons, Olympos et Agricola.

Malgré une grippe des plus tenace j'ai participé à cette session de jeu mais mon avis risque d'être altéré par une compréhension limitée des subtilités des divers activités proposées 

Seasons :

Un jeu de carte assez simple où les joueurs doivent cumuler des cristaux au cours de trois années, réparties en quatre saisons (d'où le nom du jeu). La gestion des ressources et l'utilisation des cartes sont assez simples mais le jeu prend toute la saveur en combinant les pouvoirs des cartes.

Tarot nous a prouver qu'il ne sert à rien de courir mais qu'il faut partir à point car il a fini premier ex-aequo en aillant passer la majorité de la partie sans cristaux.

Olympos:

Chaque joueur doit étendre sa civilisation et son prestige. Si à deux le jeu ne vous avez pas emballé, il prend toute sa dimension à cinq.

Le système est simple, on accumule des ressources pour ensuite acquérir des découvertes apportant des avantages et des évènements aléatoires ponctuent le jeu en bien ou en mal.

S'il ne renouvelle pas le genre, il est bien fait, assez rapide pour ce type de jeu ce qui me convient parfaitement.

Agricola :

Un jeu obligatoire pour sa ludothèque. Jeu de gestion pur, il permet à une famille de paysans de voir grandir son domaine sans verser une goutte de sang.

Chaque tour le joueur choisi parmi les ressources ou actions disponibles celles dont il aura besoin pour construire, manger, cultiver. Le nombre de tours étant limité il faut optimiser ses choix pour évoluer sans mourir de faim.

Un très bon jeu qui se joue en mode simple ou en mode avancé ce qui nous permettra d'y jouer encore dans vingt ans sans nous être lassé.

Vengeance noire : Episode 4

Malgré une activité professionnelle des plus prenante, je n'ai pas cédé à la fatigue et j'ai fini les nouvelles troupes de mon armée Dark Angel.

Voici quelques photos des travaux en cours et la synthèse finale. J'ai essayé de nouvelles techniques sur cette armée et l'expérience que j'en tire est très enrichissante. Je retiens :

• La dissolution des lavis GW (au moins 1/4 lavis 3/4 eau) pour éviter les grosses taches et à passer en au moins deux ou trois couches.
• L'enduit de rebouchage pour les socles, un grand merci à Eres.
• La peinture ultra diluée sur une couche de blanc pour donner un effet d'éclairage plaisant.

Les Terminators avant (gauche) et après (droite) le passage du lavis.

Les socles texturés et peints

La photo de famille

Maintenant je vais m'attaquer au chaos, et notamment aux cultistes pour en faire de la chair à canon qui manque cruellement à mon armée nouvelle version.

   

Soirée figurines au club

Ce vendredi, je combattais à nouveau les Spaces marines d'Atila avec mes eldars. Je dois vraiment trouver une composition capable de stopper ces satanés marines d'assaut avec leurs réacteurs dorsaux. C'est toujours un plaisir de jouer contre Atila qui possède une expérience du wargame dont il me fait profiter.

Pendant que nous nous étripions joyeusement, Nicolus et Tanatore se disputaient la victoire sur une table Epic. Cette version 6 mm du monde de 40K est un jeu permettant de véritablement gérer une armée complète. Revoir ces si petites figurines m'a replongé un instant dans mes années à la FAC, où je manipulais moi-même des sections de Spaces marines.

En troisième, l’inébranlable table de FOW, mené par Asgard et Cosaque 31. Malgré un superbe travail de hobby cette bataille n'attise pas mon imaginaire. Que ce soit ADG, ou FOW, aucune de ces tables historiques ne me font autant vibrer que celle d'un SDA, d'un KOW ou d'un Epic. Lorsque je regarde une table de jeu historique il me vient une seule question en tête :  "Mais où sont les elfes ?".

Aide de jeu 40k V6.

Un petit billet pour remercier USAGI3 qui nous fourni une aide pour 40K v6.

Un résumé des règles indispensable à récupérer ICI.

Vengeance noire : Episode 3

Avec l'installation et la configuration de Windows 8, je n'ai pas pris le temps d'avancer comme je le voulais sur mes terminators.

Les couleurs de base sont presque toutes posées, il ne reste que quelques retouches et je passe aux lavis.

Ces bougresses d'armures sont remplies de détails qui ne me sont apparus que petit à petit m'obligeant à y passer plus de temps que prévu.
J'en tire cependant une découverte : l’utilisation des couleurs très diluées par dessus une couche de blanc.
J'ai utilisé cette nouvelle technique sur les aigles des plastrons et le résultat me satisfait pleinement.

Allez dernière ligne droite pour cette escouade ...

Vengeance noire : Episode 2

Même si je ne publie pas, j'avance sur la mise en couleur des Dark Angels : les motos sont opérationnelles.

Les terminators avancent tranquillement.

Je n'ai pas encore décidé comment finir les socles mais je teste l'idée de Eres, un joueur passionné d'histoire.

Il utilise de l'enduit de rebouchage pour donner de la texture aux sols.

Il me reste un vieux tube d'enduit pas encore sec, je me lance dans cette nouvelle approche de la confection de supports pour figurines.

Pour les plus observateurs, un minotaure Sessair et une aberration Dirz se sont glissées derrière les gardiens de l'humanité. J'ai enfin tigé, après plus de cinq ans, ces maudites figurines pour les monter définitivement. Le déclencheur a été la disparition des cornes du Minotaure. J'ai du mettre l'atelier sans dessus-dessous pour retrouver ces satanés appendices et c'est Madame qui a intuitivement mis à la mains dessus.

A méditer : Les petites pièces sont à monter rapidement ou à conserver précieusement dans des petites boites.

  

Journée jeu

Avec une semaine de retard, je présente ma découverte de notre journée jeu avec Math,  LePat et Tarot. Cette découverte c'est : Summoner War.

Un petit jeu de carte entre les échecs et le 421.

Sur un plateau, des unités représentées sous forme de cartes se positionnent pour détruire l'adversaire notamment l'invocateur adverse. Chaque unité possède une compétence spécifique liée à son armée. Les combats sont arbitrés par des lancers de dés donnant une part d'aléatoire qui pimente le jeu (surtout sur un quadruple six). Les unités détruites ou défaussés sont utilisées pour invoquer de nouvelles troupes jusqu’à la fin du paquet.

Cela donne un jeu rapide, simple à comprendre mais qui donne de multiples combinaisons offrant une variété de jeu fort sympathique. Le prix reste très raisonnable ce qui ne gâche rien. 

J'envisage même une version 3D avec des figurines.

Un belle découverte et j'en remercie Tarot.

Nous avons aussi fait une partie des "Demeures de l'épouvante" dont vous retrouverais ma présentation ici

SkyFall

Mon entourage m'ayant conseillé de voir le dernier 007, j'ai donc suivi le mouvement et visionné la nouvelle aventure de l'espion de sa majesté.

Une question m'a hanté pendant tout le film : Pourquoi l'estampiller James Bond ?

Tout le film est bien loin de l'image que j'avais gardé de cet espion "So british".

Premier choc: où est passé l’introduction avec la musique devenue un classique et la silhouette vue par le canon d'une arme ?

Second choc : Daniel CRAIG. Je n'arrive pas à m'y faire. Il n'a pas la classe et la distinction naturelle qui sont indispensables au personnage. Sa démarche a un côté animal qui ne correspond pas à l'élégance que j'attends de ce héros. J'ai toujours l'impression que l'acteur interprète le méchant du film et cela gâche un peu l'ambiance.  

Attention Spoiler

Troisième choc: Pas de gadget. Une honte !!!! Même si le scénario justifie cette quasi absence d'appareils ultra-sophistiqués, je reste sur ma faim.

Quatrième choc. Pas de James Bond Girl. Là c'est scandaleux. Je ne comptais pas me rincer l'oeil avec des scènes à la moralité douteuse, mais de là à réduire le rôle de l'espionne ennemie à une rencontre d'une poignée de minutes, c'est un peu dur.

C'est tout ce qui caractérise, à mon sens, un film de 007 qui a disparu de cet énième opus. Il en reste un bon film d'espionnage. Je donne même une mention spéciale à Javier BARDEM pour son jeu d'acteur parfait et qui donne à notre méchant toute sa saveur.

A voir sans restriction car politiquement trop correct.

Semaine de 40k

Lundi soir, je combattais FrancheTaille et ces Black Templars dans une lutte fratricide avec les Spaces Marines. Un jeu en fond de court, des lance-missiles dans tous les coins. Un festival de son et lumière et pas un seul corps à corps.

Vendredi soir, j'ai initié Atila à la version six de Warhammer 40K. Histoire de varier les plaisirs j'en ai profité pour sortir mes Eldars.

Mon adversaire étant un figuriniste de longue date il a très vite intégré les nouvelles règles et su tirer partie des forces de son armée. J'ai pour ma part appris beaucoup sur ce qu'il ne fallait pas faire avec ma nouvelle composition.

Il ressort de ces deux batailles que les unités de corps à corps ont énormément de mal à atteindre leur cible. Entre les tirs en état d'alerte, les figurines du premier rang qui sont enlevés en priorité et la distance de charge aléatoire, l'approche physique est des plus difficile.

Il me faut donc revoir toutes mes armées pour m'assurer une puissance de feu optimale. Les unités d'attaque rapide redeviennent très intéressantes car elle sont les plus à même  de rentrer en contact avec les troupes adversaires.

Games nous a pondu une nouvelle version qui oblige à revoir les codex. Un bien ou un mal ? Je suis mitigé :

Si l'on fait abstraction du coté mercantile évident de ces modifications, une règle qui ne change jamais est pour moi une règle morte. Jouer dix ans avec les même schémas, les même tactiques risque de m’ennuyer profondément. Il est bon de faire évoluer un système de jeu pour lancer de nouveaux défis, faire travailler notre intellect.

En contrepartie, je reconnais que c'est un investissement temps et parfois argent dont je me passerais volontiers. L'apprentissage de cette nouvelle version et la compréhension des ajustements parfois subtils et de leurs conséquences en terme de jeu sont fastidieux.

Mais ai-je vraiment le choix ?

Si je veux continuer à jouer avec le plus grand nombre de personnes, je dois suivre cette évolution, où bien je décide, en accord avec un ou deux adversaires, de garder l'ancienne règle.

Comme je suis un éternel curieux je vais continuer à suivre les mutations de mes jeux favoris et éviter de me disperser dans de multiples expériences avec des figurines venant d'ailleurs comme "L'art de la guerre" que de valeureux chevaliers pratiquaient à la table voisine, ce vendredi soir. 

Bouffé par des zombis ...

Ce samedi soir j'ai joué un survivant dans un monde post-apocalyptique, où les zombis régnaient en maîtres. Je ne suis pas un fan de cet univers mais comme j'aime bien les jeux de coopération je me suis laissé tenter par l'aventure ludique. 

Accompagné de trois autres compères, nous nous sommes lancés dans le tutoriel puis le scénario un du jeu : Zombicide.

Je vous livre donc mon analyse au vue de ces deux parties.

Le matériel :

De belles figurines en grand nombre, des plaques de jeu lisibles, des pions solides forment  un ensemble de qualité avec  juste un petit bémol sur les portes qui auraient mérité d'être en 3d pour une meilleure visibilité sur la table et des plaques de personnages qui risque de vite être abîmées par les marqueurs.

La règle :

Le principe est connu. A tour de rôle les joueurs effectuent des actions (bouger, combattre, fouiller). Il récupère ainsi de l'équipement nécessaire à la survie dans ce monde hostile.

A leur tour les zombis avancent inexorablement vers les personnages, ce qui pose la question du timing (Fuite - Combat -Recherche ). Sans oublier que plus on tue de zombis plus il en vient.

J'ai passé une bonne soirée autour de ce jeu. Il est de bonne facture mais au final très classique. Le thème choisi n’évoquant rien pour moi, il manque cette petite touche spéciale      qui fait d'un bon jeu un jeu culte.

Vous pouvez suivre le rapport de bataille sur le site de CDTK

Fringe Saison 3

Avec un emploi du temps chargé et un manque de motivation, cette troisième saison a été longue à visionner.

En effet si les acteurs sont toujours à la hauteur, on ne peut pas en dire autant du scénario. Des longueurs dans les scènes, des épisodes inutiles, et une fin mélodramatique qui me font penser que les auteurs sont en manque d'inspiration.

Ce que je reproche à cette série c'est son manque de cohérence. Comme si l'histoire était écrite saison après saison, en oubliant les points importants des chapitres précédents.

J'avoue que je ne sais pas encore si je regarderais la saison 4 et encore moins la 5 qui, il me semble, n'était pas prévue au départ. 

Vengeance noire : Episode 1

Afin de pouvoir suivre mon projet vengeance noire, je poste ici le premier épisode de peinture de mon aventure ludique que j'espère finir avant la fin de l'année pour aligner les hordes de cultistes en début janvier. 

Pour éviter que cette boite ne reste, comme tant d'autres, à moitié peinte je commence par les darks angels qui viendront simplement renforcer le détachement déjà fort bien pourvu.

C'est un moyen de me motiver à finir ces pièces moins importantes dans un temps raisonnable. Sinon elles risquent de finir dans un tiroir, ce qui est quand même un peu dommage. 

L'escouade tactique est bien avancée car il ne lui manque que les socles. N'étant pas encore décidé, je vais attendre de faire les autres figurines pour finir le soclage de l'ensemble des marines.

La suite d'ici la fin de la semaine.

Reprise des aventures de M. Pinceau and Co. (Partie II)

Comme annoncé plutôt (aucun lien avec le chien de Mickey, désolé), amis lecteurs, je vous tiens au courant de mon avancé sur l'armée eldar.

Cette avancée est très faible pour le moment. J'ai tout juste réussi à peindre l'escouade de scorpions , par manque de sous-couche mais surtout de temps.  

Il est vrai que mon activité professionnelle devient chronophage et cela ne va s'améliorer avant les fêtes de fin d'année.

Pardon pour les photos mais sur un Iphone bof  bof

La prochaine étape sera un couple de Vyper. Affaire à suivre ...

J'en profite pour changer un peu les couleurs mon blog, son coté sombre me fatigue.

Vague asisatique

Allez savoir pourquoi les trois derniers jeux de plateau que j'ai pratiqué sont basés sur des univers venant du pays du soleil levant.

Le weekend dernier, nous avons retrouvé Le Pat, Math et Tarot, pour une après-midi ludique de bonne aloi.  Olympos étant resté sur l'étagère du salon à la suite de son "Open box" (Article pour bientôt), nous avons retrouvé des jeux connus avec "GhostStories" et "King of Tokyo".

Ghost Stories :

Un jeu coopératif dans un univers de taoïstes combattant des démons. Le jeu est assez difficile et le hasard des tirages peut faire perdre la partie en quelques tours.

Pour corser un peu le tout, Tarot a joué avec l'extension "Black Secret", passant du coté obscur et rendant le jeu pratiquement injouable pour les taoïstes restants.

Le déséquilibre du jeu est encore plus flagrant avec cette extension, certaines cartes en faveur du mal se révélant trop puissantes.

Même s'il est agréable, Ghost Sotries n'est pas dans mon Top 10 des jeux. Il demande une maîtrise subtile des règles et un esprit d'optimisation qui à mon gout n'ont pas leur place dans un jeu de plateau. 

Pour les amateurs pointus.

King of Tokyo :

Mettre des baffes, virtuelles certes, à ces amis ou sa famille, voila un programme qui me séduit pleinement. Le principe du jeu est simple, vite mémorisé et très addictif.

Les combinaisons de dés donnent les actions possibles (baffes, soins, énergie, victoire). Une pointe de stratégie avec l'achat de pouvoirs spéciaux et c'est la curée vers Tokyo.

On donne et prend des baffes, c'est rapide, sans trop de réflexion, à partager avec toute la famille.

J'ai retrouvé Chifoumi, à la MJC. Ravi de pouvoir rejouer ensemble nous nous sommes étripés sur "Okko"

Okko:

Un face à face démons contre chasseurs là aussi au temps des samouraïs. Avec des figurines, des cartes et des compétences, je définirai ce jeu comme un jeu de figurine sur plateau.

Les règles sont simples mais leur application demande une bonne réflexion. Tout le secret est dans l'utilisation des décors et le placement des personnages.

Ce jeu est agréable pour se familiariser avec les principes des jeux de figurines mais doit être lassant sur le long terme une fois ses bases  maîtrisées.

    

Vengeance noire

Ma boite d'initiation à Warhammer 40k est enfin arrivée. J'ai longtemps hésité avant de l'acheter mais comme je suis un passionné je me suis trouvé mille et une raisons pour acquérir cet ensemble.

Je ne ferais pas d'open box car sur la toile nombre de blogs confrères ont déjà réalisé cette présentation.

Je reste époustouflé par la finesse de la gravure sur plastique. Je ne comprends pas pourquoi toute la production GW n'est pas entièrement réalisée dans cette matière, surtout la gamme FineCast qui semble vraiment de qualité variable. 

Alors que reste-t-il un fois l'excitation de l'ouverture passée et que l'on regarde plus froidement le contenu pour voir ce qui est utile.

Pour le chaos, dans mon cas la Légion Noire :
Je récupère un dreadnought de tout beauté avec des règles qui le rende bien plus viable que son homologue issu du codex. Deux unités de fanatiques qui servent de chair à canon pour remplacer mes démons mineurs dont l'apparition sur la table de jeu est trop aléatoire. Un magnifique seigneur du chaos et sa garde rapprochée prendront vite leurs places dans les petites compositions.

Pour les Anges Noirs :
Les personnages sont parfaits pour incarner les héros de ce chapitre notamment le sergent Terminator qui fait un excellent Belial. Comme le prochain codex prévoit une relance des jets de surchauffe, les troupes avec lances et canons à plasma ne sont pas de trop.

Coté matériel :
Les réglettes en plastique et les dés sont inutiles mais les gabarits sont toujours pratiques au cas on j'en oublierais un lors d'une sortie.
Le livre de règles petit format est par contre indispensable. C'est une version épurée du manuel qui ne contient que les règles avec un agencement plus agréable. Parfait pour les déplacements. La lecture est par contre plus difficile surtout pour les quadragénaires, comme moi, avec des bras qui s'allongent.
Des fiches bien commodes et un petit fascicule pour apprendre à jouer que je testerai certainement lors d'une initiation.

La question qui m'a été souvent posée est de savoir si l'investissement valait le coup :
Pour ma part c'est un rendement à 98%. En effet, à part les réglettes et les dès, le reste est profitable voir indispensable.
Pour un joueur n'ayant qu'une des deux armées, voir aucune, c'est l’occasion de commencer un détachement pour à peine plus cher que le prix du livre de règles.
Pour un débutant, c'est une boîte complète qui permet de commencer l'aventure assez simplement mais qui montrera vite ses limites notamment sur la taille de l'armée.

Au vu du matériel proposé cette boite reste une bonne affaire, surtout si vous échangez ou revendez les pièces inutiles.

Rentrée ludique 2012

Cette année, j'ai pris mon adhésion à la ludothèque avec la ferme intention de jouer plus régulièrement, de partager les nouveautés du moment et de discuter avec des aficionados du ludique.

L'entrée en matière est restée simple mais efficace, avec pour commencer une petite partie de Perudo en attendant les joueurs avant de se lancer dans un Battestar Galactica.

Si Perudo une la version plus politiquement correct et moins alcoolisée du jeu que j'ai pratiqué de ma folle jeunesse, il reste idéal pour passer un petit moment entre amis avec les enfants qui savent compter.

Par contre  Battestar Galactica, c'est une autre paire de manches. C'est un jeu coopératif somme tout classique, basé sur la série éponyme. Un groupe de joueur lutte contre le système du jeu et un ou deux traîtres tentent de perturber leurs actions en restant le plus discret possible.

Même si les règles sont simples, la multitude de choix possibles donnent vite la migraine. A pratiquer avec des adultes de préférence, les ados étant trop dans l’émotionnel pour garder une vision sereine des personnages.

Pendant ce temps, quelques adeptes d'histoire, revivaient les combats de la seconde guerre mondiale à l'aide du jeu Flammes of  war (FOW  pour les initiés)

Pour une première soirée, c'est bien sympathique.

Reprise des aventures de M. Pinceau and Co.

Si le mois d’août est plus propice à la sieste et à la baignade, le mois de septembre marque la reprise des activités ludiques et créatrices. C'est dans cet esprit que j'ai abordé ma nouvelle armée eldar pour 40k.

Depuis plus de deux ans j'accumule des unités, offertes par mes proches ou achetées d'occasion, pour me constituer aujourd’hui un beau régiment d’environ cents figurines. Beaucoup d’infanterie et quelques véhicules composent cette division issue du vaisseau-monde « HEKATYS ».

Avec un IPhone c'est pas le top.

Je vous livre ici les premières peintures sur des unités de gardiens à pied et en motojet.

La couleur dominante sera le rouge sur toutes les escouades, quelque soit leur type. Je n’aime pas les armées aux couleurs disparates comme celles proposées en standard par le fabricant car l’effet de cohésion est beaucoup moins important sur l’ensemble.

J’espère finir cette nouvelle cohorte pour décembre pour avancer dans ma peinture en générale et pouvoir profiter de ces eldars le plus rapidement possible.

Je posterai les unités finies au fur et à mesure pour voir l'évolution dans le temps.

Quand Noël est en avance.

Depuis un moment, je lorgnais les fusiliers du Griffon pour le jeu Confrontation. J'ai donc profiter d'une commande commune pour acquérir ces troupes afin de compléter mon armée composée uniquement de tireurs.

Ne voulant pas les laisser sans meneur, j'ai ajouté deux personnages et pour l'armée du cerf deux géants qui frappent fort.

Un petit craquage, mais vu la somme dépensée, c'est ridicule. Comme quoi jouer à des jeux non suivis a aussi du bon.

The dark knigth rises

Vu hier soir au cinéma en 2D. Les deux premiers opus de la trilogie étant bien faits, nous sommes donc allés voir ce troisième volet avec plaisir.

C'est une réussite : un savant mélange entre des personnages torturés par leurs émotions, de l'action juste ce qu'il faut, un scénario simple et bluffant. Tous ces ingrédients font de ce film d'action à la base, un bon film. Il est vrai que les acteurs sont de qualité ce qui donne ce petit plus.

A voir, avec des ados ou des adultes, mais sans enfant.

Dimanche journée KOW

Ce dimanche, j'ai reçu FrancheTaille et Davor pour une journée "Kow". Une belle journée durant laquelle trois matchs se sont disputés sous un soleil de plomb, à l'abri dans mon garage, la pièce la plus fraîche en cette chaleureuse saison.

Pour dresser un petit bilan de cette journée, je dirais que KOW est un jeu parfait pour les joueurs occasionnels que nous sommes. Les règles sont simples, le tour de jeu est rapide, les armées offrent un panel de choix intéressants, mon seul regret étant l’absence de magie à proprement dit. 

Au cours de cette rencontre, j'ai combattu des armées de mort-vivants et de nains, qui dans l'ensemble sont équilibrées.

• Les morts vivants sont d'une solidité à toute épreuve et il faut accumuler une masse importante de dégâts pour espérer les anéantir.
• Les nains ressemblent fortement aux humains, si ce n'est les berserks, véritables hachoirs vivants.

Il en restera une agréable journée, l'envie de continuer à monter et peindre des figurines pour ce jeu.

Décors pour médiéval et fantastique

Il était temps que je m'occupe un peu des décors sur mes tables de jeu. La dernière partie "King of war" le montre bien, une armée peinte dans un décor non peint, cela sonne faux. De plus je manque cruellement de hauteurs pour placer les pièces d'artillerie.

Je me suis donc lancé dans la fabrication d'une colline en polystyrène. C'est assez simple, chaque étape se réalise assez vite. Par contre il faut bien laisser le temps aux composantes de sécher entre chaque phase ce qui, au final, rallonge énormément le temps de fabrication.

Pour occuper ces temps morts, j'en ai profité pour mettre en couleur quelques ruines en plastique qui traînaient depuis des lustres dans mes tiroirs.

Kow Version V3

La nouvelle version de la V3 est sortie.

Pas de bouleversement, que des ajustements, des ajouts d'unités et du background.

Otto Von Gruggen nous livre sa traduction des règles libres, un grand merci à lui. (Suivre ce lien)

Dommage que les listes d'armées ne soit pas inclues dans les règles libres disponibles sur le net.

Confrontation avant les vacances

Les portails

FrancheTaille m'a sournoisement soumis un scénario (Télécharger ICI) qui change de l'éternel : Annihilation.

Migail le sélénite, mage célèbre, découvre dans un grimoire l'existence d'un sanctuaire sélénite permettant de voyager à travers l'espace instantanément et décide de partir pour l'étudier.
Il demande à Danil le preux de l'accompagner car on ne sait jamais qui voyage à travers les portails.

Mais déjà Phidias, Sénéchal de la loge de HOD, a investi les lieux. Son escorte de répurgateurs vient d'occire les derniers clones de Dirz quand la troupe peu discrète des lions se fait entendre.

Déploiement.

Les griffons prennent position autour du portail central prêt à utiliser son pouvoir pour arriver au plus vite sur les nouveaux ennemis.

Le gros des troupes du lion se déploie au sud, tandis que les éclaireurs occupent le terrain au nord.

Tour 1

Les templiers décident de passer par le portail pour tenter de protéger les portails au nord.

Le reste de la troupe resserre les rangs autour de Phidias.

Les lions activent les quatre portails latéraux. Danil seul au sud tente de se rapprocher de Migail, qui vient examiner le portail sud-est.

Griffon : 2 PV / Lions : 4 PV

Tour 2

Fort de leur connaissance des portails, les templiers se téléportent face aux faucheurs et chargent.  Le premier périt sous les coups furieux de son adversaire, le second jouant d' esquive échappe à la lame de son bourreau.

Migail invoque un élémentaire de l'eau sans difficulté puis poursuit son inspection à l'abri des  tirs ennemis. 

Les répurgateurs, sous l'impulsion de Phidias, déchaînent un torrent de feu sur le preux chevalier que son armure n'arrive pas absorbé. Danil tombe sous le regard incrédule de ses troupes. L'élémentaire est aussi touché rudement par les balles des griffons. La journée commence mal.

Le dernier templier s'étant égarer au milieu des lions postés au pilier sud-ouest ne doit sa survie qu'à l'incapacité de ces trois assaillants à lui infliger le moindre dégât.

  

 Griffon : 6 PV / Lions : 5 PV

Tour 3

Migail soigne son compagnon aquatique qui, revitalisé, lance un assaut sur les tireurs les plus proches. Contre-charge des alliés qui se solde par le bannissement de la créature aqueuse.
Phidias charge un garde royal, tandis qu'un vétéran et un joueur d'épée se poursuivent passant par la porte sud-ouest pour venir en aide aux belligérants qui croisent encore le fer.
Une valkyrie tente vainement de blesser un répurgateur, mais ce dernier avec le soutien d'un vétéran écrase la pauvre amazone. 

Griffon : 9 PV / Lions : 6 PV

Devant la fureur destructrice et fanatique des griffons, les lions, sous les conseils avisés de Migail, cède la victoire et l'utilisation des portails aux membres de la loge secrète de HOD.

Un décor agréable, un scénario original, cette partie aurait pu être une agréable altercation mais le sort en a voulu autrement. Les jets de dès ont été à la faveur de FrancheTaille, lui offrant une victoire facile mais sans saveur. Que dire de mon côté quand sur six faces vos dés ne vous montrent que des un ou des deux.

Nous rejouerons ce scénario prochainement, car il nous a bien plu à tous les deux. 

Rebelle - Pixar

Avec une bande annonce alléchante, Pixar nous a pris dans ces filets pour cette ballade dans les Highlands.

Ce conte féerique qui devait nous parler de rébellion, de destin, avec un côté épique est au final une histoire enfantine avec cette pointe moralisatrice inutile à mon goût.

Le spectacle est par contre magnifique, avec des paysages d'une grande beauté, des animations fluides et le côté dessin animé même dans une production en 3D. C'est incontestablement du grand art.

Dommage que cette technologie ne soit pas au service d'un scénario plus mature et non tourné vers le jeune public.

A voir avec des enfants uniquement.

La chute du dragon

Vendredi soir nous avons, Franche-Taille et votre humble reporteur, croisé le fer avec la règle "King of War". Un scénario simple à deux objectifs.

Franche-Taille, à la tête des valeureux nains de Midgar, se devait de protéger le noble dragon Krinastas blessé qui tentait de rejoindre la source de l'ancien temple.

Les nains de Midgar sont des artificiers hors pairs comme le prouve leur équipement destiné à détruire l'adversaire à distance.

Un contingent de quatre canons et deux orgues accompagnés de fusiliers et de berserkers s'est aligné pour occire les ennemis du reptile géant.  

Pour ma part, mes hommes bleus de Galarie avait pour mission d'empêcher le peuple des montagnes de prendre possession de la fontaine cachée au milieu des ruines.

Le général Paltamine monté sur un dragon de combat, prit la tête d'une armée de gardes du palais escorté par deux unités de chevaliers et quelques archers ainsi que des balistes à répétition.

Durant le début de la bataille, les canons nains firent mouche, pulvérisant nombre de fantassins et quelques cavaliers. Les hommes, effrayés par ce déluge de feu, ont eu peine à avancer. Les cavaliers des deux camps tentèrent bien une percée mais les haches et les épées eurent vite fait de détrôner les lances peu maniables au corps à corps.

La partie s'est terminée sur un match nul, aucune des armées n'ayant réussi à franchir les lignes adverses.

Encore une fois, j'apprécie la simplicité de ce jeu. Le fait de ne pas devoir passez mon temps à retirer les pertes, les poser sur le côté, les oublier etc, est un avantage énorme sur Battle ou GDA. 

Deuxième effet "Kisscool": le nombre de figurines ne diminue pas au fil des pertes. Un nombre restreint de sujets judicieusement placés sur le plateau de mouvement suffit à représenter x soldats. Ainsi avec moitié moins de troupes l'on peut monter des armées intéressantes. A méditer.

    

Le décor est volontairement sobre mais il manque, à  mon sens, des hauteurs pour donner du relief à cette table de jeu. Je vais donc devoir me fabriquer des collines.